3 311/365 – Ariège, les pieds dans l’eau

C’était il y a quelques jours, enfin, dans le courant de la semaine.
Un petit temps que je n’étais plus retournée vers ce cours d’eau, alors, en rentrant du jaridin, j’ai fait un détour pour y tremper les pieds.
Je vous prie de croire que malgré mes bottes « Aigles » , bottes que j’ai depuis un petit peu plus de 20 ans, je sentais bien la fraîcheur de l’eau 😀

les pieds dans l’eau

Aujourd’hui il fait beau. Beaucoup, mais vraiment beaucoup de solei. Un ciel bleu incroyable. On se croirait au début de l’été.
Je suis restée chez moi. Fatiguée, je me repose et pense aller voir le jardin demain et tant que je passe par la servitude du petit château, en profiter pour prendre des feuilles mortes pour le potager. A moins que je ne le fasse la semaine prochaine.

L’image ci dessous, est le chemin que je prends en traversant le petit bois par la servitude du « petit château ». Des feuilles mortes, il y en avait déjà début août. Une montée rude (il n’y parait peut-être pas à cause de l’angle de la prise de vue) d’un petit quart d’heure.

montée dans les bois

3 297/365 – Ariège, matin doré

Un petit matin frisquet de la mi-novembre, en Ariège, peu de temps avant que les feuilles ne s’envolent. Je me rendais au jardin et à la sortie de mon domicile j’entamais ma première montée.
J’ai toujours aimé cet arbre au port majestueux et dans cette lumière matinale, le soleil sur ces feuilles jaunes, la ramure était resplendissante.

ps : petit clin d’oeil à Denise à qui j’avais promit cette publication il y a déjà deux bons mois.

Ariege, matin doré

3 272/365 – Ariège-Quotidien- Promenade vivifiante

Après une trop longue semaine de temps couvert, humide,brumeux,maussade et à rester à la maison (hormis une sortie réellement nécessaire), depuis hier il fait un temps réellement splendide.

Mes jambes réclamant de bouger je me dis que je passerais en vitesse au jardin pour voir si on m’a bien apporté les deux ou trois seaux de sable ; que j’y resterais pour un petit bricolage (besoin de clouer des planches dans le mini cabanon que j’ai construit avec des palettes de récupération, une tôle récupérée et des tuiles récupérées elles aussi ; puis que je ferais peut-être une promenade au grand air.
Il fait superbe mais frais, vraiment très frais . Mais le temps est sec,  la matinée sera superbe, je le sens , et je vais m’amuser.

Après avoir traversé le hameau et dépassé le petit chateau j’entamme la montée à travers le petit bois et en profite pour ramasser un grand sac de feuilles mortes que je mettrai sur le tas de compost. Les branches de noisetiers (gourmands et autres) je viendrai en couper un autre jour pour ne pas me surcharger (et porter tout cela durant pres de 1 km encore …)C’est avec plaisir que je respire le parfum des feuilles mouillées par la météo de cette dernière semaine, que je regarde à travers les arbres ce ciel qui commence à devenir de plus en plus bleu.
Faire attention surtout à ne pas glisser. Ce sentier a dû être pavé il y a bien des années et des pierres apparaissent encore ici où là, recouvertes par de la terre et des débris végétaux déposés au fil des années .

C’est en même temps que le marchand de sable que j’arrive sur mon terrain et je réceptionne donc deux grands seaux que je m’empresse de mettre sous abris dans mon mini cabanon.
Après avoir effectué mon bricolage, je m’enfile une tasse de café noir encore bien chaud pour avoir l’énergie nécessaire de repartir
Mais avec ce paysage devant les yeux, quel plaisir de marcher .
Je traverserai la prairie pour rejoindre le chemin qui passe derrière les bâtiments de ferme (non visibles sur la photo) et j’ai bien envie de faire connaissance avec le petit chemin des bergers pour rejoindre une petite route que je connais tres bien maintenant (et qui est un des deux trajets que j’emprunte pour me rendre ua jardin).
Mon bâton m’est fort utile, la marche en montée est moins fatigante pour le coeur (qui cogne assez fort par moment) et est utile également pour ne pas tomber.

Comme dans une propriété non loin d’ici, ici aussi dans cette prairie les cochons (sangliers) sont venu faire des dégâts et remuer la terre pour rechercher des verres de terre ou autre Le chemin de berger au départ est un sentier de prairie , tout ce qui est de plus banal et normal ; il laisse le passage pour une voiture . Ce n’est que plus loin, juste après le tournant que le chemin devient un petit sentier  … de berger . Absolument pas plat du tout, pentu, ne laissant la place que pour une personne et il faut bien fair eattention où mettre les pieds, on peut glisser, se tordre le pied ou autre si on ne marche pas avec attention.
Photographié ici sur la fin et au moment où l’attention peut se relâcher.

 

 

Et ce ciel si bleu …..

Je remarque avec plaisir un néflier mais celui-ci se trouvant sur un terrain pentu il me serait préjududiciable de tenter d’en cueillir. Je ferai donc le tour dans la prairie qui est encore gelée par endroits pour voir si la cueillette de ce côté est possible. Mais je désenchanterai et ne me régalerai pas de ces fruits

 

 

Avant d’emprunter la petite route goudronnée qui me ranènera à la maison, je décide de faire un petit détour vers la rivière et l’endroit où il y a une quinzaine de jours j’ai vu une biche. Peut-être aurais je encore de la chance d’en voir.
Je ne me lasse pas de regarder cette nature que j’aime particulièrement en automne et lorsque la saison est déjà plus qu’entammée et me rappelle que l’hiver n’est plu très loin.  On respire enfin et lorsque le temps est sec , c’est vraiment un réel plaisir d’aller vagabonder

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alors, je me pose sur mon bâton et j’attendrai quelques temps pour voir si les biches arrivent plus loin à l’orée du bois, là où se trouve une prairie en contrebas de la route qui traverse la montagne.
Il doit y avoir des chasseurs aujourd’hui car plusieurs fois le long de ma promenade j’ai entendu des tirs.  J’espère voir les biches sauves pour les contempler je l’espère une autre fois.

Maintenant il ne me reste plus que quelques centaines de mètres avant d’être chez moi. Je fais un petit détour pour voir si les chevaux sont en pâture.
Une des prairies est occupée par une jument poulinière et son poulain.


Avec de nombreuses autres juments , elle a passé l’estive en « haut » et passera maintenant l’hiver ici, et comme l aplupart sans abri (l’année dernière j’ai vu les poulains couchés dans la neige avec leurs mères respectives).
J’ai questionné un des fermiers qui me dit que si ils les rentrent, en hiver lorsqu’ils devront les sortir elles auront froid.

C’était une matinée ordinaire dans mon quotidien ici en Ariège

Catherine
Ariège 19 novembre 2021

 

3 664/365 – L’automne à l’hippodrome d’Auteuil butte Mortemar

Quelques prises de vue de l’automne à l’hippodrome d’Auteuil, à quelques jours de l’hiver

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Cette année je n’ai pas eu le temps d’aller photographier la forêt en automne.
Qu’à cela ne tienne, les couleurs se sont offertes à mes yeux à l’hippodrome d’Auteuil la première quinzaine de novembre.

3 401/365 – Le rouge est mis au bois à l’automne

Les vraies couleurs rouges, oranges jaunes et dorées de la nature se sont fait attendre cette année. La douceur des températures ayant décidé de jouer les prolongations.

Il y a presqu’un mois je suis retournée dans les bois une fin d’après-midi, pour attendre que le soleil commence à descendre dans le ciel et puisse offrir une jolie luminosité qui fasse ressortir une couleur chaude.

le rouge est mis au bois
le rouge est mis au bois à l’automne

Emprunter des petits sentiers et aimer s’égarer dans la nature fut un réel bonheur.