3 114/365 – Hippodrome d’Auteuil

Cette photographie rentrera dans le cadre d’un reportage que je suis allée faire à l’hippodrome d’Auteuil, un jour où il n’y avait pas de courses.

En piste - Hippodrome d'Auteuil
En piste – Hippodrome d’Auteuil
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3 113/365 – Quartier de l’Odéon, de l’Eglise Saint Sulpice à la rue de Vaugirard (partie 4)

Au bout de la rue Férou je tombe sur une énorme grille qui délimite le jardin du Palais du Luxembourg. Le Sénat n’est pas loin.
Je traverse la rue, vide encore de toute voiture en cette heure matinale (il est aux alentour de 7h00) , je m’adosse contre la grille et je regarde les immeubles que j’ai en face de moi.

Putain, ils s’emmerdaient pas dans le temps les architectes …

Dans le quartier de l'Odéon, 52 Rue de Vaugirard
Dans le quartier de l’Odéon, 52 Rue de Vaugirard
Dans le quartier de l'Odéon, Rue de Vaugirard
Dans le quartier de l’Odéon, Rue de Vaugirard

Juste en face de moi j’admire les éléments d’architecture de deux gros bâtiments ; les n° 54 et 52 de la rue  de Vaugirard sur laquelle je suis maintenant.

 

Comme information sur ces deux immeubles ,  je n’ai rien trouvé. Le 6ème arrondissement de Paris est pourtant tres riche architecturalement parlant
On va donc se contenter de regarder …

 

 

une p…n de superbe grande porte cochère au n° 54, elle est colossale.
L’immeuble a côté comporte beaucoup de petits éléments d’architecture sculptés dans la pierre.

Au n° 52 , l’immeuble sur la 1ere photographie de l’article, il y a quatre sculptures qui m’intéressent. Si on regarde bien, ces petits diables ont tous un regard différent. Regardez donc ceci sur le diaporama.

Je continue de « tester » mon nouvel objectif, en l’occurence le 18-250 mm de Sigma ❤

Mon regard se porte sur la droite alors que j’ai envie d’aller à gauche. Je suis l’envie de mon regard et m’en vais voir cet immeuble sur lequel il s’est arrêté.

Un autre style que les deux que nous venons de quitter. Une plaque signale que le compositeur J.Massenet membre de l’institut, né à Montaud (Loire) le 12 mai 1842, décédé à Paris dans cette maison le 13 août 1912

Dans le quartier de l'Odéon, 48 Rue de Vaugirard
Dans le quartier de l’Odéon, 48 Rue de Vaugirard

A ce moment je fais la connaissance d’un photographe. Tout en devisant ensemble j’apprends que c’est un professionnel qui rentre de reportage du côté des ponts plus loin vers la Seine. On parle de la lumière qui est vraiment exceptionnelle ce matin. On parle photographie, matériel >>> il remarque mon 7D muni du 18-250 mm . Je lui fais tester l’objectif qu’il trouve vraiment excellent 😀

Je vous disais, il est encore fort tôt . Maintenant il doit être aux alentours de 7h30. Le soleil est bien levé et la lumière encore fort jolie.
Un immeuble en pierre et en brique rouge attire mon attention.

2 rue Guynemer
2 rue Guynemer

 

2 rue Guynemer
2 rue Guynemer

Il se trouve à l’angle de la rue de Vaugirard et de la rue Guynemer. D’ailleurs  les deux portails d’entrée se situent au n° de 2 de la rue Guynemer.

Je me suis positionnée en plein milieu du carrefour, mais en cette heure matinale cela ne me pose vraiment aucun problème. Les seules deux ou trois voitures que j’ai pu croiser m’ont tout simplement … contournée 😀

 Alors, pour vous montrer, une fois de plus ce que vaut mon 18-250 mm de Sigma, je vous montre ci-dessous en diaporama les différentes approches que j’ai faites sur le coin de ce tres bel immeuble.
Vous en voyez la hauteur.
Je vais donc aller me positionner sur le trottoir d’en face mais cote rue de vaugirard, puis je zoomerai plusieurs fois jusque la tête du lion sculpté qui se trouve au dessus de la fenêtre du 4ème étage.

Let’s go pour le diaporama et … commencez donc par visionner sur la photographie où on voit e plus de ce beau ciel bleu 😀

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Pas mal pour la netteté, vous ne trouvez pas ?
Je suis vraiment, mais vraiment ravie de ce 250 mm et je le redis … 50 mm de plus  >>> cela peut faire toute la différence 😉

Ici, je vais  vous demander votre aide car je ne sais absolument pas comment appeler cette … comment dire vu que je ne sais pas la nommer … chose ?

58 rue de vaugirard
58 rue de vaugirard

J’ai joué avec son ombre et j’ai aimé cela 😀

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C’en est terminé pour la 4ème partie de cette promenade matinale dans le quartier de l’Odéon
Si je n’ai pas donné de plus amples informations sur les immeubles (architecte, année de construction etc …) , c’est que j’ai bien un petit peu cherché en ce matin du vendredi 6 mai où je prépare cet article, mais je n’ai pas poussé plus mes investigations.
Hier j’ai fait une bien trop longue promenade quelque part dans le XVIème, je suis rentrée vannée, j’ai dormi dans l’apres midi , je me suis couchée avec les poules et j’ai dormi 10 heures et je suis encore fatiguée là maintenant … tout en programmant.

Cette promenade durera encore le temps de deux ou trois publications.
D’autres sont dans la boite. Nous irons plus tard quelque part dans le 11ème et le 16ème comme je viens de vous le dire.

Belle journée à tout le monde
Bienvenue à mes nombreuses nouvelles lectrices et nombreux nouveaux lecteurs 😀

Envie de revoir les autres publications de la promenade ?
C’est par ici : cliquez sur les liens en gras.

– Quartier de l’Odéon, de l’Eglise Saint Sulpice à l’avenue de Vaugirard :  >>>  partie 1
– Quartier de l’Odéon, de l’Eglise Saint Sulpice à l’avenue de Vaugirard :  >>>  partie 2
– Quartier de l’Odéon, de l’Eglise Saint Sulpice à l’avenue de Vaugirard :  >>>  partie 3

3 112/365 – L’atelier de cuir

Il y a quelques semaines de cela, je musardais dans un quartier de Paris, sans recherche particulière donc lorsque … oh my Gode (une fois de plus 😉  ),  je suis tombée nez à nez avec l’atelier d’un artisan du cuir.

L'atelier de cuir
L’atelier de cuir

Un atelier,  un vrai quoi , avec de larges baies vitrées un petit peu sales quand même et une porte fermée qui ne demandait qu’à s’ouvrir pour me laisser entrer 😉

L'atelier de cuir
L’atelier de cuir

C’est ce que je fis d’ailleurs. J’ai d’abord toqué à la porte puis je l’ai ouverte.
Après avoir dit bonjour à trois charmants hommes, je me suis présentée et leur ai fait part de ma demande.
J’avais mon boîtier à la main et leur ai posé la question à savoir ; si je pouvais promener mon regard dans leur immense atelier , car j’avais un site où je montrais mes reportages photographiques et leur atelier était pour moi une jolie occasion.

La permission m’a d’ailleurs été accordée car ils la trouvaient intéressante. Ils ont continué leur travail respectif et m’ont laissée déambuler librement dans tout l’atelier, le temps qu’il me faudrait.
Il y avait d’abord tous ses outils divers et variés pour le travail du cuir ; des tracoirs, abats, un nombre incroyable de molettes à marquer, des découseurs, alènes, pinces,  fermoirs,  gouges, diverses lames et lisettes etc .. etc .. etc …

Sur les reborde de fenêtre il y avait des pots où dans certains trempaient des outils. Un emolette était en train de chauffer sur une machine.

L'atelier de cuir
L’atelier de cuir

Des peaux de diverses couleurs attendaient d’être découpées et travaillées.
Sur le sol se trouvait du cuir qui avait déjà été « marqué ».

L’un des artisants m’a appelée car il voulait me montrer comment , avec l’aide d’un outil marqueur (dont je ne connais pas le nom) on dorait le cuir qui laissait donc sur celui-ci, une trace dorée du dessin qui était gravé sur l’outil.

Je n’ai pas photographié les trois hommes ni les machines, mais je me suis attardée sur quelques  détails, des outils que je vous laisse voir tranquillement en diaporama ci dessous.

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Quand vous vous promenez dans Paris, d’abord, sortez des quartiers touristiques, quittez les grands boulevards, les avenues, osez l’aventure dans notre si belle capitale qu’est Paris, flanez, musardez sans recherche particulière.
Alors, c’est que vous trouverez ce que vous n’attendiez pas 😀

3 111/365 – Quartier de l’Odéon, de l’Eglise Saint Sulpice à la rue de Vaugirard – Hotel de Lusy, rue Férou (partie 3)

D’abord on remarque ceci en levant la tête : des plaques de rue gravée dans la pierre

rue de ferou,cul de sac de férou
rue de ferou,cul de sac de férou

Ici sur la droite, au n°4 d ela rue, une bien belle porte cochère en bois avec des détails d’ornementation gravé dans la pierre

4 rue Férou
4 rue Férou
4 rue Férou
4 rue Férou
4 rue Férou
4 rue Férou

Mon regard se porte déjà sur la propriété suivante car j’ai remarqué un beau portail avec deux sphynx en terre cuite.

6 rue Férou
6 rue Férou
hotel de Luzy
hotel de Luzy – sphynx en terre cuite
hotel de Luzy - sphynx en terre cuite
hotel de Luzy – sphynx en terre cuite

J’ai cherché et cherché ce que pouvait être ce qui me semble être un hôtel particulier, comme on en rencontre enormément dans ce quartier.
Ce n’est qu’en préparant cet article en ce jeudi de l’ascension que je suis tombée sur quelques informations et la principale étant de savoir que c’est l’Hotel de Luzy.
En 1767 Etienne Nicolas Landry de Freneuse rachète cet hotel qu’il fait remanier par  l’architecte Chalgrin .
Au dessus des fenêtres du 1er étage on remarquera trois bas-reliefs qui représentent de petis angelots sculptés par Francois-Joseph Duret

Bas-reliefs représentants de petits angelots jouant, sculptés par François-Joseph Duret
Bas-reliefs représentants de petits angelots jouant, sculptés par François-Joseph Duret

Alors j’ai appris que Mademoiselle de Lusy fut actrice à la Comédie Française, que de 1770 à 1785 elle avait un emploi de soubrette et qu’elle avait une rivale du nom de  Madame Doligny, rivale qui avait plus de talent qu’elle. Alors il se dit que Mademoiselle de Lusy l’emporta grâce à des avantages de sa personne (on comprendra par là ce que notre esprit verra  😉  )

Alors ; pour voir à quoi ressemblait cette Mademoiselle de Lusy, je vous propose de cliquer sur le lien en gras ici : >>> Mademoiselle de Lusy

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– Quartier de l’Odéon, de l’Eglise Saint Sulpice à l’avenue de Vaugirard :  >>>  partie 1
– Quartier de l’Odéon, de l’Eglise Saint Sulpice à l’avenue de Vaugirard :  >>>  partie 2

 

L’investissement en photo

Selon vous, l’investissement en photo c’est quoi ?

… Selon moi  c’est soi même.
C’est-à-dire : trouver un endroit, passer du temps quelque part,  souvent attendre longtemps le bon moment d’appuyer sur le déclencheur lorsqu’on est positionné quelque part, parfois faire des kilomètres et au final rentrer bredouille parce-que on n’a pas trouvé ce que l’on cherchait etc … etc … etc …
Ce n’est donc certes pas l’achat de matériel souvent très cher, ni le fait de posséder plusieurs boîtiers dernier cri, ni le fait de se la péter avec plusieurs objectifs qui coûtent la peau des fesses ….

Voiçi une vidéo d’Arnaud Thiry , une de plus, que je publie aujourd’hui.
J’aime beaucoup ses vidéos.  Il donne des conseils très judicieux, il a énormément d’humour (qui manque parfois aux gens).

Si vous faites les mêmes photographies que tout le monde et que vous vous investissez aussi peu dans ces images que tout le monde, vous êtes tout le monde
>>> faire les mêmes photographies que tout le monde n’avance à rien , « copier » quelqu’un dénote un total manque d’imagination

Pour être quelqu’un, pour sortir du lot vous devez vous investir dans vos images, faire des kilomètres, ne pas avoir peur d’aller dans des endroits inconnus, et … donner de sa personne.
>>> aller vers l’inconnu, dans des endroits où tout le monde ne va pas ou ne pense pas à aller. Savoir rester dans un endroit (parfois des heures) et attendre « le » bon moment pour appuyer sur le déclencheur

Le réel investissement
>>> c’est se donner la peine  de faire des photographies que personne n’a eu le cran de faire. C’est chercher des endroits où tout le monde ne pense pas à aller.

Avoir des idées c’est un investissement et si parfois tant de gens « copient », c’est qu’ils n’ont pas envie de passer le temps à chercher, à s’investir, à « donner de leur personne » ….. c’est plus facile de prendre chez l’autre …

Pourquoi croyez-vous que parfois on désire garder secret le nom de l’endroit où on est allé faire des prises de vues ou « la » photographie qui sort du lot ?
La simple et bonne raison c’est qu’on a mit du temps à trouver cet endroit et du temps, c’est parfois des jours, des mois, voire plus encore ….

S’investir ce n’est pas faire les mêmes photographies de plage tout au long de l’année, ce n’est pas  photographier le  chat du voisin qui dors sur un coussin.

En revanche s’investir c’est :
– se mettre à plat ventre sur le sable (mouillé) (protéger son objectif) et viser un cavalier qui sort de l’eau au grand galop
– observer le chat de la voisine qui épie un oiseau et attendre le bon moment (lorsqu’il s’élance par exemple) pour déclencher. C’est aussi avoir attendu , espérant que le chat s’élance puis ne pas faire la photographie car la voisine a chassé son chat (pour ne pas qu’il  prenne l’oiseau)

 

3 109/365 – Paris, la Seine en crue juin 2016 Port de Javel Haut

Comme beaucoup de parisien(ne)s j’ai voulu voir de mes propres yeux la Seine en crue  dans un environnement proche de mon quartier.
J’ai alors pris le bus n°62 jusqu’au pont de Mirabeau et je me suis promenée …. effarée des images que j’avais sous les yeux

Paris front de Seine crue juin 2016
Paris front de Seine crue juin 2016

Vous avez déjà pu voir une ou deux photographies publiée entre deux articles. C’est volontairement que j’ai voulu les diffuser décalées de toutes les publications vues ici et là.
Aujourd’hui mini diaporama Port de Javel Haut et une vue du pont Mirabeau vers les tours en front de Seine.

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3 107/365 – Le poids des mots. Quartier de l’Odéon, de l’Eglise St Sulpice à la rue de Vaugirard, le bateau ivre (partie 2)

La première partie de cette promenade je vous avais emmené à l’Eglise Saint Sulpice et nous en avons fait le tour au moment où le soleil se levait.
Il fait clair maintenant et nous poursuivons notre promenade.

J’emprunte une petie ruelle pavée (c’est parce qu’elle est pavée justement , et étroite),  que je l’ai empruntée) et je découvre : oh my Goooooooooood !  : un mur !!

Le bateau ivre - Arthur Rimbaud
Le bateau ivre – Arthur Rimbaud

Il est quelque peu particulier car je vois plein de mots sur ce mur.
Faisant fi de ce qui m’entoure, je reste concentrée sur ces mots pour m’apperçevoir que c’est un poème de Rimbaud . Le 1er poème qu’il a déclamé à ses amis, à l’age de 17 ans, depuis le 1er étage d’un ancien café de la Place St Sulpice (qui n’existe plus) . C’était en 1871.
Le poème s’appelle « le bâteau ivre »
Prenez donc le temps de le lire en version « diaporama » :

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Pour vous « aider » , et ne pas commencer à le lire là où il ne débute pas  …. il commence ainsi : Comme je descendais les Fleuves impassibles …
Pour le lire vous pouvez également cliquer sur le lien en gras ici : >>> Le bateau ivre

La ruelle est jolie le quartier aussi.  L’ « ambiance » en ce petit matin, est … particulière.
Pour pouvoir goûter à cela il faut savoir se lever tôt 😀
Il est à peine passé 7 heures du matin, on n’entend rien, on ne voit personne, il fait calme …

rue du canivet
rue du canivet

Avant d’emprunter cette petite rue (elle n’est pas très longue) je regarde sur ma gauche vers la rue du Canivet.
Un certain Canivet, partisan de Louis XIII a été accusé d’avoir accaparé les deniers prélevés sur les vins , à titre de droit d’entrée pendant le siège de Corbie. Ce financier traitait avec l’Etat pour la ferme des impots. Il a dû être un personnage important pour qu’un hôtel porte son nom . On pense alors que cet hôtel a du se trouver dans cette petite rue.

Le mot canivet est aussi un vieux mot qui signifiait « petit canif ».

Très vite sur la gauche, je m’arrête devant cette jolie façade qui se toruve rue Férou et qui semble donner sur une cour. Le bâtiment qui se trouve à l’arrière ne me paraît pas être de la même origine que la façade.
En train de préparer cet article, j’ai recherché dans mes archives documentaires et sur internet que pouvait bien être cet immeuble à la belle façade et ; je n’ai rien trouvé.

7 rue ferou
7 rue ferou

 

Je monte doucement la rue Férou à présent.

rue ferou
rue ferou
rue ferou
rue ferou

 

Elle est longue de 120 mètres  pour une largeur de 12 mètres.
Cette petite rue a été ouverte en 1517. Son tracé n’est pas tres droit. Les façades des maisons ne sont pas toutes droites. C’est parait-il, le quartier le plus cher de la capitale !
Athos, le célebre Mousquetaire y aurait habité, Hemingway également, de même que Man Ray le photographe.  Et il se dit qu’à l’heure actuelle , des actrices ou acteurs de cinéma y habitent.
La rue Férou aurait abrité aussi, en 1681, une Académie équestre importante qui faisait le pendant d’une autre Académie équestre importante se trouvant rue de la canette (rappelez vous de cette rue lors de ma dernière publication) , et qui se trouve de l’autre côté de la Place St Sulpice. Elles étaient destinées à former de jeunes nobles et etaient dirigées par Antoine du Gard et Hercule Bidault.

A dans quelques jours … pour la suite de notre promenade.

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Quartier de l’Odéon, de l’Eglise Saint Sulpice à l’avenue de Vaugirard :  >>>  partie 1