
De la macro sans objectif macro. Juste de la patience et de la persévérance 😀
Bon ok je l’avoue. L’invasion date d’avril 2016 et l’on pouvait venir adopter un panda en papier mâché, un des 1600 exposés pour cette manifestation particulière.
C’est à l’initiative du WWf que l’expo a été organisée et avec la participation de l’artiste Paulo Grangeon.
Cette exposition était itinérante depuis quelques années et le chiffre 1 600 était à l’époque, le nombre de pandas qui étaient en vie sur la planète.
Ce 14 septembre j’avais envie de me dégourdit les jambes, quelque part pas loin de chez moi.
Direction l’hippodrome d’Auteuil où c’était jour de courses.
En effectuant ma promenade autour de l’hippodrome, j’assisterai peut-être à quelque chose ….
Je vais donc me positionner près de la haie d’essai et passe dans les broussailles pour me jucher sur une souche . Je me trouve à moins de 10 mètres tout juste en face de la haie d’essai et je pourrai voir de près ce que les spectateurs de l’hippodrome ne peuvent pas voir.
Je vois d’abord l’ambulance pour chevaux revenir ……
Dans les courses de galop je préfère nettement le plat mais j’aime les chevaux et … les chevaux de course.
Au cours de la course « prix meli melo » il y a eû chute et le cheval Cosi Fan Tutte s’est retrouvé en liberté.
Elle faisait des allers et retours non loin du passage qui mène vers les écuries puis a foncé dans la lice pour passer au delà et se retrouver dans le passage qui mène aux écuries. Un homme de piste se trouvait là et l’a rattrapée.
Une petite Eglise devant laquelle je passe de temps en temps.
Une longe allée bordée d’arbres se dessine pour y arriver.
Les messes n’y sont plus dites aussi souvent qu’avant.
Une cité ancienne ouvrière se trouve dans les environs proches.
Pour la petite histoire, voici ce que dit le panneau :
» le première Eglise de Noisiel, dédiée à Saint-Médard est édifiée sur les terres du prieuré de Gournay. Détruite au cours des guerres de religion, au XVIème siècle, elle est rebâtie en 1602 par Jean du Tremblay, premier seigneur laïc de Noisiel, puis agrandie en 1670 par Yves Mallet, seigneur du Luzard. A la révolution, l’église est désaffectée puis détruite, si bien qu’en 1851 les habitants de Noisiel n’ont plus de lieu de culte. En 1856, le duc de Lévis fait construire l’Eglise actuelle. Emile Menier exclut la religion de son projet social et édifie la cité ouvrière à distance de l’église, fréquentée occasionnellement par les ouvriers. »
Cette église est de style néo-romane.
Nous voici à la fin de ma visite au Grand Trianon (visite effectuée le 16 août 2017).
Cette journée j’avais vraiment , une fois de plus, beaucoup marché et surestimant ma capacité à « tenir le coup » je commençais également à m’essouffler.
Une large volée de marches attend les visiteurs à la sortie du Grand Trianon. Celles-ci descendent vers les jardins que nous allons visiter.
Ce jardin est constitué de grandes haies, de plusieurs bassins . Beaucoup de bancs sont disséminés ici et là. Petite visite pour moi.
Ce n’est pas au pas de course que j’ai terminé ma visite , mais d’un pas rapide. J’y retournerai à l’automne lorsque la lumière deviendra rasante.
Pour l’heure, voici une vue du Petit Trianon et de sa façade côté sud. c’est elle que l’on voit de l’extérieur lorsqu’on se promène dans le grand parc.
Au décès de Louis XIV, Louis XV lui succède donc et il prend la décision de faire construire pour Madame de Pompadour , un petit château. Comme celle-ci décède à son tour et avant la fin de la construction de celui-ci, c’est à la Comtesse du Barry (nouvelle favorite de Louis) qui occupera le nouveau petit château
Il y a quelques fontaines avec des angelots à l’air facétieux que je n’ai pas hésité un seul instant à immortaliser.
De jolies fleurs égaient ici et là le jardin de parterres richement colorés.
La promenade continue et j’arrive devant un petit pavillon au milieu du jardin. C’est un petit pavillon réservé au calme , aux collations et « divertissements » …
Ce pavillon à une histoire lui aussi. J’y reviendrai lors de ma prochaine visite dans cet endroit fort joli.
Le Petit Trianon (proche du petit pavillon), a été construit de manière à ce que chacune de ses façades donne sur un jardin différent.
Le Temple de l’Amour lui, a été construit dans le Jardin Anglais.
Marie Antoinette, à la mort de Louis XV, a effectué beaucoup de changements dans le domaine.
Je vous en parlerai également plus longuement lors de ma prochaine visite dans le courant de ce prochain automne je l’espère …
Pour revoir les 4 premières publications, c’est par ici.
Suivez le guide !
La 1ère partie de la visite se trouve ici , cliquez sur le lien en gras et en vert ici :1ère partie de la visite
La 2èmee partie de la visite se trouve ici , cliquez sur le lien en gras et en vert ici : 2ème partie de la visite
La 3èmee partie de la visite se trouve ici , cliquez sur le lien en gras et en vert ici : 3ème partie de la visite
La 4èmee partie de la visite se trouve ici , cliquez sur le lien en gras et en vert ici : 4ème partie de la visite
Nous sommes à la sortie du Grand Trianon avec cette éclatante tapisserie rouge.
C’est un panneau en velours de soie cramoisi semé des aigles impériales Russes – 1856
Il provient de la manufacture LE MIRE, père et fils (1811-1865)
Commandé à Lyon en janvier 1856 et livré aux tapissiers russes en février 1858, ce meuble textile en lampas brocard cramoisi est enrichi de l’aigle impériale rebrodée.
L’échantillon d’époque représenté ici révèle le faste de la petite salle du trône du palais d’Hiver.
Mise en oeuvre dans la première moitié du XIXème siècle, cette pièce d’apparat constitue un hommage au règne de Pierre le Grand.
voici ci-dessous un détail de cette très jolie pièce.
Pour la 5ème et dernière partie de notre visite au Grand Trianon, nous sortirons pour une courte promenade au jardin.
A très vite 😀
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La 3ème partie de la visite se trouve ici , cliquez sur le lien en gras et en vert ici : 3ème partie de la visite
Lors d’une journée du mois de juillet de l’an de grâce 2017, j’assistai à une bataille de grande ampleur.
Ecoutez donc mon récit.
Je me trouvais non loin de la Cathédrale de Saint-Denis .
Entendant des chants je me suis approchée de celle-ci pour voir des combattants en arme en sortir et se rassembler (selon les armées auxquelles ils appartenaient), sur le parvis.
Des échauffourées commencaient ; les armées différentes se provoquant avant la bataille qui allait bientôt avoir lieu.
Un instant prise entre deux combattants je pu m’en échapper et ainsi rejoindre le flot de gens allant assister au futur combat
Les différents corps d’armée se préparèrent chacun de leur côté et selon leur façon de faire.
Deux chefs d’armée luttèrent ensemble , mas le plus féroce, le plus sanguinaire eut gain de cause et clama haut et fort sa victoire sur l’ennemi !
Un ménestrel (même si la bataille de Saint-Denis eut lieu en 1567 et que les ménestrels c’était la période du moyen-âge 1401/1500 et que -en principe- il n’y en avait plus >>> on s’en fou 😀 ) ; s’est alors avancé sur le terrain de bataille (vide pour le moment) et, étant là pour encourager les troupes qui allaient maintenant toutes s’affronter entama une série de douces mélopées ennivrantes .
Les combattants furent acharnés les uns envers les autres et utilisèrent au mieux leurs armes.
Certains demandèrent grâce, pitié, pitié …
Des samaritains arrivèrent (si si , ils existaient surement à cette époque ! )
Ils demandèrent la paix entre tous, pour le bien de tous.
La paix décrétée, les différents corps d’armée se rassemblèrent et se mélangèrent pour une photo de groupe.
Euhhhh des photographies à cette époque et, des photographes ?
Ben oui. Sinon, chère lectrice, cher lecteur ; comment aurais tu pu les visionner ? 😉
D’ailleur ; la photographe fatiguée de sa journée passée à Saint-Denis, s’en alla prendre le métro (je vous assure que le métro existait déjà à cette époque) pour rentrer se reposer dans son chez-elle.