
L’un(e) d’entre vous m’a envoyé tout à l’heure un sms me demandant de mes nouvelles. Assez sympa 😀
Depuis près d’une semaine je ne me connecte plus ou ne poste plus …
j’ai en fait une réelle « overdose » d’écran, tout simplement.
C’est la raison pour laquelle je n’ai pas posté depuis, et ni même ne suis passee chez vous , ou alors en vitesse, 5 minutes et du bureau.
Je n’ai réellement PAS envie d’ouvrir mon ordinateur en rentrant du bureau ou alors c’est en vitesse une dizaine de minutes.
Deux trois fois j’ai déjà ici même écrit des messages de ce genre mais là le mot « overdose » est trop bien approprié.
Ici c’est Jack, dans le costume du Perce Oreille ;-).
Son langage était un peu précieux, mais il est tellement attendrissant ainsi.
La photo pas trop nette, prise avec mon pocket (pour voyager leger) qui ne voulait pas déclencher au bon moment …
Vais peut-être faire un effort ce weekend, mais je ne vous promet rien.
Aujourd’hui je vous montre les dernières images de la chambre des Singes.
Nous venons à peine de rentrer. J’avais promit à Mademoiselle D de l’emmener voir Mickey.
Elle a absolument tenu à essayer de retirer l’épée Excalibur (ou Escalibor) de son socle. Puis, elle est allée manger un hamburger et a continué sa visite.
ps : Demain dimanche repos pour moi. J’aurai un peu de temps devant moi pour passer plus longuement chez les uns et les autres (mais peut-être pas tout le monde car vous êtes bien nombreux).
Passez un bon dimanche 😀
Ravie de cette exposition. Il y avait vraiment, mais vraiment beaucoup de belles choses à voir.
Photographies, dessins, peinture, sculptures, collages etc …
Si vous êtes à Paris, n’hésitez pas 😉
Alors pour l’histoire de la photo.
Je me trouvais sur le pont de Grenelle et me suis brusquement arrêtée en voyant ce jeu d’échec géant sur ce bateau de croisière.
Ni d’une, ni de deux, je suis descendue et j’ai demandé au vigile si je pouvais rentrer et demander à l’accueil l’autorisation de prendre quelques prises de vue.
Pas de souci. Je rentre et dans mon meilleur anglais (c’était une croisière pour de riches américains et je me trouvais en jogging …. 😉 )demande l’autorisation qui m’est accordée.
En ce qui concerne la technique il n’y a aucun montage, pas de HDR, pas de trucage.
J’ai tout simplement joué avec les tons sombres et les tons clairs car je trouvais que les nuages dans le ciel ne se voyaient pas assez.
Pourquoi triptyque 117 pour le titre de ce billet ?
Triptyque : ca, c’est facile à comprendre
117 : car sur la gauche, à la sortie, on peut voter pour une oeuvre de l’exposition qu’on a bien aimé.
Demain 20 novembre débute une exposition (entrée gratuite) qui se déroulera jusqu’au 7 décembre à l’Hôtel de Ville de Paris. L’entrée de l’exposition se fera par le Parvis de l’Hôtel de Ville.
J’ai reprit sur internet une photo montrant le dessin de l’affiche de l’exposition .
Les artistes participant ont toutes et tous reçu de la part du Maire de Paris une invitation pour l’inauguration de demain et pour le jour de la remise des prix. J’espère pouvoir m’y rendre …..
Mais demain je serai quelque peu nerveuse. C’est la première fois que j’expose aux yeux d’un large public quelque chose que j’ai fait moi même. J’espère que ma photographie plaira aux visiteuses et aux visiteurs.
Ma photo se veut interrogative. Lorsqu’on la regarde on peut se poser des questions : est-ce un montage, est-ce un dessin, est-ce du HDR ?
Je ne peux que vous dévoiler son titre : » Mat du lion «
Alors, si l’une ou l’un d’entre vous se trouve à Paris dans ces dates là, n’hésitez pas à pousser la porte de l’exposition et à venir voir toutes les œuvres exposées.
La chambre des singes est une véritable merveille. Le nom donné à ce château vient des tapisseries que l’on peut voir en haut des portes (celles qui restent) ou qui se trouvent sur les murs (si elles ne sont pas éventrées), tapisseries qui représentent des scènes champêtres où les personnages sont des singes.
L’usine de tourteaux d’Epiais Rhus fabriquait des tourteaux (ou granulés) qui servaient à la nourriture du bétail.
Les grains se trouvaient acheminés par une passerelle et traité de l’autre côté de la rue dans d’autres bâtiments de l’usine, où ils étaient mélangés à de la mélasse et d’autres céréales pour ressortir sous forme de granulés de la marque Totaliment. De la mélasse était mélangée à des betteraves . Tout cela ressortait sous la forme de petits cubes.
Bâtie à la fin des années 1930, l’activité à duré jusque les années 1980 ou un incendie a mit fin à la production et l’usine a été laissée à l’abandon.
Il y subsiste de grosses machines totalement rouillées aujourd’hui.