La végétation est tellement dense qu’on ne peut qu’imaginez (difficilement encore) le dehors du Manoir côté cuisine et cave.
Quelques marches toutes moussues dont une comportant un trou sous la mousse mènent vers une autre série de volée qui n’existe d’ailleurs plus, mais dont subsiste l’arcade en bois qui l’accompagnait et menait vers le rez-de-chaussée.

Les cuisines se trouvant en sous sol (on remarque les fenêtres sur la droite de la photo), on peut penser que ces escaliers servaient uniquement aux domestiques pour se rendre dans les parties des communs qui leur étaient destinées suivant leur état de service.


En levant la tête vers le 1er étage, l’on voit les fenêtres se trouvant tout juste au dessus de celles des cuisines


Deux plans plus rapprochés de ce qu’il reste du petit escalier qui surplombait ces combles.


Un endroit froid, étroit. Il se dégage de ce lieu comme un sentiment étrange qui me dit que des personnes ayant fait partie de cette maison me disent de ne pas y rester, que quelque chose a dû s’y passer dans le temps, que je ferais bien de revenir sur mes pas.
Danièle est partie rejoindre Sophie L dans la cuisine. Je reste donc seule dans cette partie du manoir.
Je continue d’observer ce qui m’entoure, cette vegetation qui prend possession de la demeure.
Après avoir jeté un dernier regard vers les étages supérieurs, je m’en retourne dans les caves que je dois traverser … il fait noir et je ne vois absolument pas sur quoi je marche. Je tâtonne du pied puis m’arrête et j’appelle Danièle et Sophie L. Je n’obtiens pas de réponse. Je commence alors à les appeler plus fort, en gueulant comme un putois. Je les entends qui me disent de venir et leur repond que sans lampe je risque de me casser la figure. Je les entends se gausser comme pas permis puis finalement l’une chuchote à l’autre ; « mais c’est vrai qu’il fait noir »
Après plus de 5 minutes d’attente l’une d’elles arrive avec la seule lampe que nous avions au départ.
ps : Merci les filles de m’avoir laissée dans le noir au risque que je puisse trébucher sur quelque chose, tomber et me blesser. Merci de vous avoir entendue vous êtres gaussées de moi…
Bien des jours plus tard j’ai reçu un mail de l’une d’elles qui me parlait entre autre de « cohesion de groupe » . >>> ah oui, c’est beau ca de me reprocher cela alors qu’on ne le fait déjà pas soi même !
J’ai eu beaucoup de mal , concernant l’autre personne, à lui faire enlever de son blog une photo ou j’apparaissais, alors qu’elle l’avait publiée sans mon autorisation … j’ai du lui envoyer 5 emails avant qu’elle n’obtempere puis me dise ne plus vouloir faire de sortie avec moi.
Superbe escalier!
L’architecture est belle , mais malheureusement il n’en reste plus grand chose.
Après avoir gravit les deux premières marches moussues, j’ai du rebrousser chemin, car l’endroit était dangereux.
on y respire l’humidité, le froid, la mousse…. ça gliiiiiiiiiiisssssssssseeeeeuuuuuuueeeee
Je m’y sentais à l’étroit surtout, avec toute cette végétation dense qui s’insinuait de partout. Après les grosses pluies de ces derniers jours, va faire bien glissant là bas 😀
Dame nature reprend ses droits !!
Comment fait-on pour te contacter en privé ? Merci …
Bonsoir,
je te contacte par mail (j’ai trouve le tien) 😀